LE NOBLE OCTUPLE SENTIER LA VOIE VERS LA FIN DE LA SOUFFRANCE par Bhikkhu Bodhi Traduction de Anne Michelrevue par Jeanne Schuthttp://www.dhammadelaforet.org/ L’INTENTION JUSTE (SAMMA SANKAPPA) Le deuxième facteur de la voie est appelé en pāli samma sankapa, que nous traduirons par « l’intention juste ». Ce facteur est parfois traduit par « la pensée juste », […]
Dhamma
LE NOBLE OCTUPLE SENTIER LA VOIE VERS LA FIN DE LA SOUFFRANCE par Bhikkhu Bodhi Traduction de Anne Michelrevue par Jeanne Schuthttp://www.dhammadelaforet.org/ LA COMPREHENSION JUSTE (SAMMA DITTHI) Les huit facteurs du Noble Octuple Sentier ne sont pas des étapes à suivre dans l’ordre, l’une après l’autre. Ils peuvent plus justement être décrits comme des […]
Voyez comment fonctionne une personne qui craint de ne pas être acceptée, qui a peur de l’échec ou qui est peu sûre d’elle : elle n’aura pas besoin de se souvenir de ses peurs pour réagir toujours selon le même schéma. Eh bien, les états d’esprit libérés s’installent en nous de la même manière.
De quoi faut-il se libérer en priorité ? De préférence, commençons par nous débarrasser de toutes les circonvolutions de l'esprit, de toutes ces histoires insensées et irréalistes qu’il nous raconte et que nous ne pouvons pas nous empêcher de croire.
Le désir et l’aversion n’ont rien de personnel ; personne ne peut prétendre en être seul détenteur ; ils appartiennent à l’humanité. Nous pouvons apprendre à lâcher cette idée personnalisée que nous avons de nos états mentaux et cela nous libérerait d’un sérieux obstacle.
Apprenez à déjouer ce processus ! Lorsque l'esprit sort de son état de normalité, il s’éloigne de la pratique juste et s’engage dans un extrême – complaisance ou aversion – se perdant ainsi toujours plus dans la vision erronée et les fabrications mentales.
La voie que le Bouddha enseigne pour mettre un terme à la souffrance est une voie d’action. Pour pouvoir la suivre, vous devez donc faire certaines hypothèses sur la nature de l’action.
(...) nos actions ne doivent pas être empreintes de désir. Elles doivent être accomplies avec l’intention de laisser aller et le souci du non-attachement.
Ce que nous ressentons pour les autres ne dépend que de nous(...)Pour Dipa Ma, mettā et pleine conscience ne font qu’un.