– Ajahn Chah : Notre véritable demeure. Paroles d’Ajahn Chah à une vieille dame aux portes de la mort (46min.)
Source : Dhammadelaforet.org/
– Ajahn Chah : Notre véritable demeure. Paroles d’Ajahn Chah à une vieille dame aux portes de la mort (46min.)
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Pratique de la bienveillance pour tous les êtres (Metta Bhavana), entraînement de l’esprit à la sagesse par l’observation de la respiration.
Le citta est comme la vacuité : en lui il n’y a ni confusion ni mal. C’est comme lorsque le soleil traverse le vide de l’espace : ses rayons et sa lumière emplissent tous les recoins de la terre parce que, quand le soleil se lève, il illumine toute la terre de manière égale. Le vide ne devient pas plus lumineux et, quand le soleil se couche, le vide ne s’assombrit pas. Lumière et ombre sont interchangeables. La nature du vide ne change jamais.
Ayant accompli un acte verbal, il faut que tu y réfléchisses… Si, à la réflexion, tu sais qu’il a conduit à ta propre affliction, à l’affliction d’autres que toi, ou aux deux; que c’était un acte verbal maladroit aux conséquences malheureuses, aux résultats malheureux, alors il faut que le confesser, le révéler, le dévoiler au Maître ou à un compagnon avisé dans la vie sainte.
Les enseignements bouddhiques ont pour but de nous faire savoir qu’il n’y pas de « soi », qu’il n’y a rien de « personnel », et que cette impression d’être une personne n’est que la compréhension erronée d’un esprit ignorant. Il y a simplement un corps et un esprit, et tous deux ne sont que des processus naturels. Ils fonctionnent comme des mécanismes qui traitent et transforment des données.